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Archives de l'auteur: admin

Gérer son budget alimentaire: comment mieux et moins dépenser?

Posté le 27 avril 2023 Par admin

Ces derniers mois, on a pu observer en France une forte hausse de l’inflation. De nombreux français déclarent avoir du mal à faire des économies lors des courses. L’APIB vous propose quelque conseils afin d’optimiser son budget alimentaire tout en mangeant bien!

1 – Observer sa consommation

Pour commencer, une astuce est de suivre votre consommation. En conservant vos tickets de caisse lors d’achats, vous pouvez établir un tableau de vos dépenses régulières, ce que vous estimez essentiel à acheter lors de vos courses. Attention cependant, les tickets de caisse ne seront plus automatiquement délivrés à partir du 1er août, pensez à les demander ! Ceci vous permettra d’avoir une idée de vos dépenses alimentaires sur les derniers mois et de réaliser un budget pour les suivantes. 

En établissant un budget avec vos revenus et charges mensuelles, vous aurez une idée de votre reste à vivre, à savoir ce que vous pouvez vous permettre de dépenser lorsque toutes vos charges fixes sont payées (par exemple le loyer, les crédits, les abonnements, électricité, gaz etc). Vous pouvez ensuite vous interroger sur le type de dépenses que vous souhaitez effectuer avec cette somme restante: combien puis-je me permettre? Est-ce une dépense prioritaire? Ceci vous permettra d’avoir une idée plus concrète de votre budget.

Une fois ces étapes réalisées, vous avez la possibilité de préparer un budget maximum pour vos dépenses alimentaires sous forme d’enveloppes hebdomadaires ou mensuelles. Par exemple, en gardant une enveloppe de 70€ en espèces pour chaque semaine pour les courses, vous serez tenu de respecter ce budget et d’établir votre liste de courses en fonction. 

2- Se préparer avant d’acheter

Afin de n’acheter que ce qui vous est essentiel et sera utilisé, une des solutions est de prévoir à l’avance les différents repas que vous souhaitez réaliser sur la semaine. Ainsi, vous pouvez lister à l’avance les ingrédients dont vous aurez besoin. Vous gagnerez en temps lors de vos courses et éviterez de terminer votre semaine avec des ingrédients que vous ne souhaitez pas manger ou cuisiner.

Pensez à vérifier vos placards dans un premier temps pour ne pas racheter des ingrédients que vous avez déjà, notamment lorsque ceux-ci ont une date de consommation courte.

Par ailleurs, de nombreuses applications et sites de recettes existent pour vous donner des idées et vous permettre de définir les quantités nécessaires pour chaque ingrédient.

Faire une liste aura donc pour avantage de vous aider à vous focaliser sur ce dont vous avez besoin tout en limitant les achats impulsifs … N’oubliez tout de même pas d’ajouter quelques achats plaisir, tels qu’une plaquette de chocolat de votre marque favorite ou votre sachet de chips pour les soirées ciné. Bien manger c’est aussi savoir se faire plaisir.

Sachez par ailleurs que pour être en bonne santé, il n’est pas nécessaire de manger quotidiennement de la viande ou des poissons, qui sont parmi les aliments les plus coûteux. Retirer ces ingrédients de vos repas une à deux fois par semaine vous permettra d’alléger vos dépenses. Pas de panique, vous pourrez remplacer l’apport protéique par des légumineuses par exemple, peu coûteuses.

Enfin, vous aurez sûrement constaté que les prix sont plus élevés à la supérette en bas de la rue plutôt qu’en grande surface. Pour un achat urgent, les petites enseignes sont bien pratiques, mais si vous souhaitez faire vos courses pour une semaine, préférez vous vous rendre dans un grand supermarché qui a forcément eu plus de marges pour négocier auprès du fournisseur et aura par conséquent des prix plus intéressants…

Comme dans l’habillement ou l’automobile, certaines enseignes sont plus chères que d’autres, vous avez la possibilité de comparer les prix pour des produits équivalents via Internet par exemple. D’une enseigne à l’autre, les différences de prix peuvent se révéler importantes.

3 – Lors de vos courses

Vous êtes fin prêts à affronter votre supermarché ! La première astuce consiste à ne pas faire ses courses le ventre vide … Et oui ! Si vous avez faim lors de vos emplettes, vous aurez tendance à acheter plus qu’il n’en faut et à vous tourner vers des produits à faible valeur nutritive, souvent plus coûteux.

Plutôt que de comparer le prix de deux produits, comparez le prix au kilo ou au litre ! Entre deux produits similaires, la différence de prix peut être du simple au double … L’emballage, les promotions ou les différents affichages sur le produits peuvent parfois être trompeurs, c’est pourquoi nous vous recommandons de toujours vous fier au prix au kilo ou au litre, qui vous indiqueront la valeur réelle de ce que vous achetez.

Suivez votre liste ! Et si vous le pouvez, utilisez un panier à taille adaptée par rapport à vos achats pour éviter d’être tenté de remplir d’aliments en tout genre.

Dernier conseil, si vous avez la possibilité de faire vos courses sans vos enfants, profitez-en. Cela vous évitera d’être sollicité pendant vos achats et d’ajouter à votre panier des ingrédients dont vous n’avez pas besoin.

Le conseil en + : commander en ligne, via des applications, c’est si facile … mais coûteux ! De même pour la livraison des courses qui ajoute à chaque fois une dizaine d’euros à votre commande.

Publié dans Actualités, Argent |

Arnaques et fraudes fréquentes pour les consommateurs

Posté le 20 avril 2023 Par admin

Quelles sont les arnaques les plus courantes? Comment les détecter?

SMS : retard de paiement d’une amende, indemnité carburant, vignette Crit’air… Depuis quelques temps, les arnaques par SMS se multiplient et sont de plus en plus difficiles à identifier. Ces multiples tentatives d’escroqueries n’ont qu’un seul but : récupérer vos données personnelles et bancaires. Comme beaucoup de Français, il est probable que vous ayez déjà reçu un de ces SMS. Le procédé est souvent le même, que ce soit un colis à récupérer ou un mot de passe à changer. L’objectif est de vous amener à cliquer sur un lien qui récupérera vos données personnelles. Désormais, les escrocs se font passer pour des sites administratifs et usurpent l’identité de certains services publics.

Vous avez un doute sur l’expéditeur : ne cliquez pas sur le lien contenu dans le SMS et ne communiquez aucune information ! Rendez-vous plutôt sur le site de l’expéditeur via votre moteur de recherche afin de vérifier si celui-ci a bien cherché à vous contacter.

Appels téléphoniques : vous recevez des appels téléphoniques d’une personne prétendant appartenir à l’administration française, à la sécurité sociale, votre mutuelle ou encore votre banque vous avertissant d’un problème lors d’un règlement et vous demandant d’effectuer au plus vite le paiement ou vous promettant un remboursement. L’objectif est encore une fois d’obtenir vos coordonnées bancaires ou vos informations personnelles. 

Il peut aussi vous être demandé de rappeler le numéro : celui-ci peut s’avérer être un numéro surtaxé, facturé plusieurs euros la minute et n’aboutissent pas au service demandé. 

Plus courament, vous pouvez être sollicité dans le cadre d’une souscription à un abonnement : les entreprises vous démarchant ne doivent en aucun cas vous demander vos coordonnées bancaires. Les démarches réalisées doivent être sécurisées et passer par des sites internets dédiés via le remplissage de mandats prévus à cet effet. En cas de doute, n’hésitez pas à mettre fin à l’appel.

Réseaux sociaux : les réseaux sociaux ne sont pas destinés à réaliser des transactions financières. Votre banquier vous contacte via Facebook ? Vous recevez un message important via Messenger de la DGFIP ? Il s’agit d’une fraude : ces canaux de communication ne sont pas destinés à être utilisés par les instances officielles et relèvent des communications privées.

En revanche, il peut s’agir d’un contact vous demandant une aide financière : même réflexe, ne communiquez pas de données sensibles via ces sites !

Démarches en ligne : vous souhaitez commander une nouvelle carte grise en ligne ? Faire une demande de passeport ?

Attention aux faux sites administratifs : lors de demandes administratives, vous pouvez être amené à communiquer des informations sensibles (coordonnées mobile, adresse postale, adresse email, numéro de sécurité sociale, numéro fiscal, …), voire réaliser un paiement dans le cas de démarches payantes. Il est par conséquent nécessaire de vérifier l’identité du site sur lequel vous vous trouverez, s’il s’agit bien d’un site du gouvernement dédié à ce type de démarche. 

Pour cela, quelques astuces :

  • l’URL des sites du gouvernement se terminent TOUS par « .gouv.fr » ou « .fr » et débutent tous par “https://”
  • vous pouvez vérifier quelles démarches sont réalisables en ligne, et si celles-ci sont payantes sur le site https://www.service-public.fr/

Achats en ligne : concernant les achats en ligne, le plus grand risque concerne évidemment le vol des données et coordonnées bancaires. Quelques points que vous pouvez vérifier avant d’effectuer une transaction : 

  • L’identité du vendeur : vous pouvez entrer le nom du site ou du produit sur un moteur de recherche, associé avec le terme arnaque, afin de vérifier si d’autres internautes ont eu de mauvaises expériences avec ce vendeur.
  • Les mentions légales du site et les conditions générales de vente.
  • Le nom ou l’adresse du site (URL), qui doit logiquement être en rapport avec les produits vendus sur le site
  • Contrôlez les caractéristiques du produit via son descriptif. En cas de doute, n’hésitez pas à demander des informations sur le produit, le service après-vente ou les conditions de livraison par téléphone ou par mail.
  • Les avis des consommateurs : pas toujours fiables, il peut s’agir de faux avis rédigés par le vendeur lui-même. Vous pouvez encore une fois vérifier les expériences des précédents acheteurs en faisant une recherche rapide dans votre moteur de recherche.
  • Les modes de paiement proposés sur le site, qui doivent être sécurisés et être couverts par des garanties : préférez des sites français ou européens !

Lors de la transaction, l’URL doit impérativement débuter par “https://”, garantissant un paiement sécurisé. Vous avez aussi la possibilité de mettre en place une validation obligatoire pour tout achat en ligne, via l’application de votre banque par exemple. Il vous sera alors demandé de confirmer l’achat ou pourra bloquer la transaction en cas de soupçon de fraude de la part de votre banque. Nous vous déconseillons par ailleurs d’enregistrer vos coordonnées bancaires dans l’optique d’achats futurs. En effet, même des sites de vente de sécurisés peuvent être victimes de piratage.

Enfin, attention aux offres trop alléchantes ! Le nouveau smartphone proposé à prix cassé peut se révéler être une bien mauvaise surprise…

D’un point de vue général, nous vous recommandons de ne jamais communiquer par courrier électronique ou par téléphone de données personnelles et surtout pas votre numéro de carte bancaire.

Publié dans Actualités, Argent, Banques |

Fraude et cyberattaques : les recommandations de la Banque Postale

Posté le 23 mars 2023 Par admin

Les menaces étant de plus en plus présentes, nous vous proposons ce guide édité par la Banque Postale pour vous assurer d’éviter au maximum les risques de fraudes. Au programme : les types de fraudes les plus communes (réseaux sociaux, SMS, emails, …), comment les détecter et comment réagir face à celles-ci. À lire ici.

Publié dans Banques |

Fraude à la carte bancaire

Posté le 26 mars 2021 Par admin
En cas d’utilisation frauduleuse de votre carte bancaire, la loi impose à votre banque de vous restituer le montant total des sommes détournées, sauf exception.

Vérifié le 5 juillet 2022 – Direction de l’information légale et administrative (Premier ministre)

En consultant vos comptes, si vous constatez qu’un paiement suspect a été réalisé avec votre carte bancaire, vous devez faire opposition sur votre carte au plus vite. Il est également conseillé de déclarer la fraude aux forces de l’ordre (police ou gendarmerie). Vous devez ensuite contacter votre banque pour vous faire rembourser la somme concernée.

Qui est concerné ?

Vous êtes victime d’une fraude à la carte bancaire si vous réunissez toutes les conditions suivantes :

  • Les coordonnées de votre carte bancaire ont été utilisées pour faire des achats en ligne
  • Vous n’avez pas effectué l’achat (et il ne s’agit pas non plus de l’achat d’un autre utilisateur habituel de la carte)
  • La carte bancaire est toujours en votre possession

Attention : si vous êtes victime d’une fraude alors que vous n’avez plus votre carte bancaire, vous devez signaler le vol ou la perte de votre carte, puis porter plainte contre les agissements.

Généralement, vous êtes averti de la fraude dans les cas suivants :

  • Vous remarquez sur votre relevé bancaire des achats en ligne dont vous n’êtes pas à l’origine
  • Vous avez reçu un code de confirmation sur votre téléphone pour un achat que vous n’avez pas fait
  • Vous avez été averti par votre banque d’une tentative d’utilisation frauduleuse de votre carte bancaire sur internet

Faire opposition

Vous devez au plus vite faire opposition, c’est-à-dire bloquer l’utilisation de votre carte. Pour cela, contactez votre banque ou appelez le serveur interbancaire réservé aux oppositions

Le serveur interbancaire d’opposition à carte bancaire permet de faire immédiatement opposition sur sa carte bancaire. Il est joignable par téléphone au 0 892 705 705 (ouvert 7 jours/7 et 24h/24). Un numéro d’enregistrement vous est remis, vous possédez ainsi une trace datée de votre demande d’opposition.

Si votre contrat de carte bancaire l’exige, vous devez avertir votre agence de votre démarche d’opposition par lettre recommandée avec accusé de réception ou sur place, au guichet. Cette démarche n’est pas nécessaire si vous avez contacté votre banque pour faire opposition.

La procédure d’opposition peut être payante. Son coût varie selon les banques et les garanties d’assurance éventuellement prises pour couvrir le risque.

Signaler la fraude à la police ou à la gendarmerie

Il est conseillé de déclarer la fraude aux forces de l’ordre.

Pour cela, vous pouvez faire un signalement (en ligne) ou porter plainte (sur place ou par courrier).

  • Le signalement consiste à informer les services d’enquête de l’existence de la fraude. Vous pouvez rester anonyme. Vous ne serez pas informé des suites de l’affaire.
  • La plainte est l’acte par lequel la victime d’une fraude en informe l’autorité judiciaire.
    En portant plainte, vous devez donner votre identité. Cette démarche vous engage et les enquêteurs peuvent vous contacter.

Le signalement, comme la plainte, vous permettent d’obtenir un récépissé, c’est-à-dire un document attestant de l’enregistrement de votre déclaration. Vous pouvez transmettre le récépissé à votre banque lors de votre demande de remboursement.

Demander le remboursement

Procédure

Vous devez demander le remboursement du montant débité à votre banque. Renseignez-vous auprès de votre banque pour savoir comment la demande doit être présentée.

Si vous avez signalé la fraude en ligne aux forces de l’ordre, vous devez transmettre le récépissé à votre banque.

La banque doit vous rembourser toutes les sommes débitées. Elle doit aussi vous rembourser les agios éventuels, c’est-à-dire les frais d’incident de paiement.

Si vous avez fait opposition tardivement, votre banque peut refuser de vous rembourser. Un paiement frauduleux ne peut pas être remboursé s’il date de plus de 13 mois.

A noter : lorsqu’un code de sécurité (dispositif de sécurité personnalisé) a été utilisé pour effectuer le paiement frauduleux, votre banque peut refuser de vous rembourser l’intégralité de la somme. Vous devez supporter une partie des pertes (50 € maximum).

Recours

En cas de litige sur un remboursement, vous pouvez saisir le médiateur bancaire.

Si l’intervention du médiateur bancaire n’a pas mis fin au litige, vous pouvez saisir la justice.

La juridiction compétente dépend des sommes en jeu dans le litige.

  • Pour un litige inférieur ou égal à 10 000 €, c’est le tribunal de proximité ou le tribunal judiciaire.
  • Pour un litige supérieur à 10 000 €, c’est le tribunal judiciaire.

D’après le site de Service-Public.fr

Publié dans Banques |

10 ans de l’APIB

Posté le 1 juillet 2018 Par admin

C’était le 29 juin 2018 à la Maison des Haubans de Malakoff, Nantes

Grâce à votre présence, nous garderons un très beau souvenir de cette célébration des 10 ans à la Maison des Haubans!

MERCI à vous tous!

MERCI également à Patrick Bédouin, ex-steward de l’air en recyclage professionnel et à Thomas de radio web Alizé pour leur collaboration.

Enfin MERCI aux étudiants de 1ère année de BTS banque du Lycée Nelson Mandela et à leurs enseignantes pour cet engagement citoyen à nos côtés !

L’équipe APIB

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Éducation financière, de nouveaux défis: La lettre d’information de Finances & Pédagogie

Posté le 4 janvier 2018 Par admin

Fin 2016, le gouvernement déployait sa stratégie nationale d’éducation financière, conscient que l’accroissement des connaissances et des compétences de nos concitoyens en la matière ne pouvait qu’améliorer la situation financière et budgétaire globale.

Un meilleur comportement financier individuel a un impact sur la société entière.
Les 5 et 6 octobre derniers, se tenait le 5e sommet de l’éducation financière à Vienne (FLIP Summit). Y étaient présentés les résultats de l’enquête « Global Financial Literacy Survey », destinée à mesurer la sensibilité et les connaissances en matière d’éducation financière. L’enquête a révélé que, dans le monde, moins d’un tiers des adultes est capable de répondre positivement à 75 % des questions posées.

Être en capacité de faire des choix avisés
Les Français sont souvent pointés du doigt pour leurs lacunes dans les domaines financiers et budgétaires. S’il est difficile de se prononcer sur leur niveau réel, il y a consensus de l’ensemble des acteurs pour dire qu’ils pourraient être davantage avertis et plus robustes en éducation financière. Et il y a une attente très claire du public. 43 % des Français affirment avoir ressenti le besoin de recevoir ce type d’enseignement. C’est dire l’importance de la stratégie nationale d’éducation financière qui vise à ce que chaque Français possède les connaissances nécessaires à la gestion de son budget ou à la compréhension des principaux risques financiers auxquels il peut être confronté dans les actes de la vie courante, et qu’il soit en capacité de faire des choix financiers et budgétaires avisés.

Pour Annamaria Lusardi, directrice du Global Financial Literacy Excellence Centre, un centre de recherche américain spécialisé en éducation financière, « l’éducation financière ne peut pas fournir toutes les solutions ni garantir qu’aucun accident ne survienne, mais elle peut assurer un bon filet de sécurité pour que tout un chacun (et particulièrement les jeunes) puisse participer à la vie économique ».

Une priorité : le milieu scolaire
Chacun reconnaît qu’il faut démarrer à l’école. Avoir des connaissances en éducation financière est aussi important que de connaître la géographie, la biologie, etc. D’autant que le monde financier dans lequel les jeunes générations évoluent n’a cessé de se complexifier. Ce n’est donc pas par hasard que l’école l’une des priorités du Comité national de l’éducation financière qui, le 20 décembre 2016, présentait les trois axes de la stratégie nationale : développer l’éducation budgétaire et financière en milieu scolaire ; soutenir les compétences budgétaires et financières des Français tout au long de la vie ; et accompagner les publics en situation de fragilité financière, en mettant à disposition des travailleurs sociaux des outils adaptés.

Les conseillers F&P ont une vraie expérience à faire valoir de par leur capacité à traduire l’éducation financière dans le quotidien, à faire simple, interactif, et à adapter leurs interventions en fonction des cibles. Si le contenu reste le même, c’est la façon de transmettre qui varie. Il s’agit bien d’inventer l’éducation financière de demain.

Publié dans Argent |

Partenariat APIB & Lycée International Nelson Mandela – Nantes

Posté le 4 janvier 2018 Par admin

Comprendre les évolutions de la société, son histoire personnelle et son rapport à l’argent.

C’est la mission du sociologue clinicien René Jarry auprès des BTS banque 1ereannée.

M. Jarry  a animé en décembre dernier, un cycle 3 conférences sur des thèmes suivants :
● “L’argent dans la société hypermoderne. Eléments de compréhension de l’hypermodernité. La représentation sociale de l’argent.”
● « Construire son projet existentiel et professionnel en relation avec son itinéraire de vie et son rapport à l’argent. »
● “Son métier : Comment concilier sens, éthique, empathie, accueil, écoute et les objectifs fixés par la hiérarchie”
Autant d’éléments de réflexion nécessaires pour envisager le métier de banquier.

Les étudiants ont été reçus dans les locaux de l’association Agir Pour l’Intégration Bancaire,
(A.P.I.B), pour assister à la dernière conférence.

Ce partenariat avec l’APIB donnera lieu à d’autres conférences à la banque de France et à l’animation d’ateliers à destination d’une clientèle en fragilité bancaire.
Merci à René Jarry pour la qualité de ces interventions

Publié dans Actualités, Argent, Banques |

Un nouveau billet de 50 euros le 4 avril 2017

Posté le 1 avril 2017 Par admin

Vos billets de 50 euros changeront d’ici trois jours. Le 4 avril, le billet le plus utilisé de la zone euro (8 milliards de coupures de 50 euros en circulation dans les 19 pays de la zone euro) mais aussi le plus victime de contrefaçon, changera d’apparence. Très ressemblant de son prédécesseur, ce nouveau billet a été revu pour lutter contre la fraude: comme les coupures de 5, 10 et 20 euros, il possède désormais un pictogramme en relief représentant Europe, la princesse de la mythologie grecque.

Publié dans Actualités, Argent |

Prix du gaz, prestations sociales, étiquetage… Ce qui change au 1er avril 2017

Posté le 1 avril 2017 Par admin

Les tarifs réglementés du gaz diminuent.

Les tarifs réglementés du gaz, appliqués par Engie à environ 5,8 millions de consommateurs en France, baissent de 0,73% en moyenne ce 1er avril. Cette baisse (hors taxes) sera de 0,8% pour les foyers se chauffant au gaz, de 0,3% pour ceux utilisant le gaz pour la cuisson, et de 0,5% pour ceux qui en ont un double usage, cuisson et eau chaude.

Certaines prestations sociales revalorisées.

Des prestations sociales seront revalorisées à hauteur de 0,3% ce 1er avril. La base mensuelle des allocations familiales (BMAF), qui sert à calculer le montant de la plupart des ces prestations (allocations familiales, allocation d’éducation de l’enfant handicapé AEEH, allocation de rentrée scolaire ARS, prestation d’accueil du jeune enfant PAJE…), passe de 406,62 euros à 407,83 euros, explique La Tribune. Le montant réévalué et détaillé de ces prestations familiales est à découvrir sur ce document de la Caf.

Le RSA passe ce 1er avril de 535 euros pour une personne seule à 536,78 euros (révision mécanique en fonction de la hausse des prix à la consommation hors tabac), avant de passer à 545,48 euros par mois au 1er septembre (+1,62%), comme prévu dans le plan gouvernemental de lutte contre la pauvreté.

La prime d’activité augmente légèrement elle aussi, passant de 524,68 euros à 526,25 euros pour une personne seule.

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Fermeture de compte : les couacs des banques en ligne.

Posté le 19 mars 2017 Par admin

Souvent longues à s’exécuter, et de manière peu transparente, les procédures de clôture de compte dans les banques en ligne donnent aussi lieu à quelques couacs, laissant une désagréable sensation d’amateurisme.

Une impression de flottement

Une chose est certaine : lorsque vous signifiez à votre banque en ligne votre intention de la quitter, l’information ne semble pas prise en compte par l’ensemble des canaux de communication. Au cours des semaines qui ont suivi l’envoi des courriers de résiliation, nous avons continué à recevoir des sollicitations commerciales, nous encourageant notamment à souscrire de nouveaux produits. Plus ennuyeux : certaines banques ont continué à nous envoyer des messages liés aux comptes, pouvant laisser penser que la banque n’avait pas connaissance de notre volonté de la quitter.

L’exemple le plus frappant est celui de Fortuneo. La filiale du Crédit Mutuel Arkéa a en effet la particularité d’imposer un usage minimum de la carte bancaire fournie gratuitement aux clients remplissant les conditions de revenus. Dans le cas contraire, c’est-à-dire si la carte est inactive – aucun paiement, aucun retrait – pendant une période supérieure à 4 mois, la banque facture des « frais de non-utilisation », de 10 ou 20 euros selon le type de carte.

Des messages contradictoires

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